Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

Les « pintaderies »

En 2004, Layla Demay et Laure Watrin, deux journalistes françaises installées à New York, dénichaient « les pintades », l’affectueux surnom qu’elles avaient choisi pour la New-Yorkaise dont elles racontaient la vie trépidante. « Pas de sarcasme misogyne dans ce nom d’oiseau, disent-elles, mais bien au contraire une impertinence féministe, une autodérision revendiquée, pour décrire la femme d’aujourd’hui. » Aujourd’hui, les pintades sont devenues une collection que dirigent Laure et Layla aux éditions Jacob-Duvernet (après Les pintades à NY, vint un guide, Le New York des pintades en 2005, puis Les pintades à Londres en septembre 2006 et on attend pour bientôt Les pintades à Paris). Cette collection se veut comme un guide des grandes métropoles du monde selon une approche très originale : à la fois document ou essai sociologique (grâce à l’enquête menée, aux anecdotes et aux chroniques) et guide touristique (grâce aux bonnes adresses).

En 2004, Layla Demay et Laure Watrin, deux journalistes françaises installées à New York, dénichaient « les pintades », l’affectueux surnom qu’elles avaient choisi pour la New-Yorkaise dont elles racontaient la vie trépidante. « Pas de sarcasme misogyne dans ce nom d’oiseau, disent-elles, mais bien au contraire une impertinence féministe, une autodérision revendiquée, pour...