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Attention, danger Albert SARA

Certains, dans le feu de la lutte politique, parlent du boycottage éventuel de la session du Parlement convoqué pour l’élection du président de la République, et ce afin de faire échec au quorum et de rendre impossible la tenue de cette session électorale. Or, l’élection d’un président maronite fait partie intégrante de l’accord de Taëf et du pacte national sur la base duquel a été conquise l’indépendance en 1943. Vouloir torpiller cette élection, c’est donner un coup de poignard dans l’accord de Taëf aussi bien que dans le pacte national. Les protagonistes éventuels d’un semblable boycottage sont priés de peser, dans leur conscience, la gravité d’une telle action pour l’ensemble des Libanais. Albert SARA Doyen des diplômés de la faculté de droit, doyen des HEC du Liban (Rappel de l’article 49 de la Constitution : « Le président de la République est élu au scrutin secret à la majorité des deux tiers de la Chambre des députés et l’on se contentera de la majorité absolue pour les tours de scrutin suivants. » NB – Les protagonistes du boycottage ont décidé, de par leur propre volonté, l’abolition pure et simple de la seconde partie de ce texte de la Constitution). Article paru le Mercredi 09 Mai 2007
Certains, dans le feu de la lutte politique, parlent du boycottage éventuel de la session du Parlement convoqué pour l’élection du président de la République, et ce afin de faire échec au quorum et de rendre impossible la tenue de cette session électorale.
Or, l’élection d’un président maronite fait partie intégrante de l’accord de Taëf et du pacte national sur la...