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DU MONDE ENTIER

Les symptômes cutanés, premiers troubles liés à l’usage de pesticides Les manifestations cutanées, hépato-digestives et neurologiques sont les troubles qui prédominent dans les intoxications liées à l’utilisation de pesticides en agriculture, selon une étude effectuée en France. Celle-ci montre en fait que les manifestations cutanées restent en tête des troubles avec 24% des signalements de troubles. Elles sont suivies par les troubles hépato-digestifs (20%) et les troubles neurologiques et neuro-musculaires (19%). Près de la moitié des signalements ont nécessité une intervention médicale et 22% une hospitalisation, souligne l’étude, précisant que dans 7% des cas, les intoxications étaient «passives». Elle montre par ailleurs que la majorité des signalements concerne les insecticides (35%), les fongicides (27%) et les herbicides (27%). Tabac, cocaïne, héroïne… des addictions qui se ressemblent Il est démontré pour la première fois, que le tabac provoque les mêmes perturbations chimiques, au niveau cérébral, que des drogues «dures» comme la cocaïne et l’héroïne, rapporte l’agence Destination santé. Cette découverte accrédite l’idée selon laquelle une longue exposition au tabagisme altère les fonctions cérébrales, contribuant ainsi au phénomène d’addiction. Un chercheur américain a procédé à l’analyse d’échantillons de tissu cérébral prélevés lors de l’autopsie de fumeurs et de non-fumeurs. Il s’est particulièrement concentré sur le niveau d’un neurotransmetteur, la dopamine, lequel s’est avéré plus élevé chez les fumeurs que chez les non-fumeurs. Exactement la même observation que celle faite sur des animaux exposés à la cocaïne ou à l’héroïne et rendus dépendants. Ces quartiers qui attaquent le cœur Vivre dans un quartier défavorisé, voilà qui peut nuire à la santé cardio-vasculaire. C’est ce que confirme une équipe américano-suédoise, à partir d’une étude réalisée sur 3,7 millions de Suédois, soit quasiment le tiers de la population du pays, souligne l’agence Destination santé. Dans les quartiers défavorisés, qui sont marqués notamment par l’association d’un fort taux de chômage et de revenus modestes, le risque d’AVC (Accidents cardio-vasculaires) serait près de deux fois plus élevé que dans les beaux quartiers. Les auteurs pointent du doigt les difficultés pour accéder aux espaces verts et donc pratiquer une activité physique. Mais aussi la plus faible proportion de commerces de proximité vendant des produits frais. Ces zones défavorisées seraient, en revanche, davantage pourvues en fast-foods. Ces kilos qui pèsent sur la poitrine Lorsqu’ils sont obèses ou en surpoids, les Américains voient leur risque de maladie asthmatique augmenter de 50% par rapport à des sujets de poids normal. Un constat inquiétant pour nos sociétés où la jeunesse est gangrenée par l’excès de poids, constate l’agence Destination santé. Les auteurs de l’étude, du National Jewish Medical and Research Center de Denver, considèrent que l’obésité constitue aujourd’hui un facteur de risque à part entière de l’asthme. Selon eux en effet, elle aurait de nombreuses conséquences sur le système respiratoire : réduction de la capacité respiratoire, difficultés à inspirer et expirer. Autant de paramètres qui provoqueraient dyspnées et autres sifflements. Des symptômes qui, en fait, masqueraient la maladie asthmatique alors qu’ils devraient la révéler. La solution est bien sûr connue de tous. Il s’agit de partir à la chasse aux kilos.
Les symptômes cutanés, premiers troubles liés à l’usage de pesticides

Les manifestations cutanées, hépato-digestives et neurologiques sont les troubles qui prédominent dans les intoxications liées à l’utilisation de pesticides en agriculture, selon une étude effectuée en France. Celle-ci montre en fait que les manifestations cutanées restent en tête des troubles avec 24% des...