Dans un excellent ouvrage paru récemment en langue arabe, Al-Hijra Min Moutassarrifiyyat Jabal Loubnan (L’émigration de la moutassarrifiyyat du Mont-Liban) 1861-1918, le professeur Abdallah Mallah est revenu sur les débuts de...
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À l’époque de grand-père
le 12 mars 2007 à 00h00
Toutes les sources s’accordent à dire que Antonios el-Bechaalani est le premier émigré libanais, parti en 1854 à Boston, aux États-Unis.
Dans un excellent ouvrage paru récemment en langue arabe, Al-Hijra Min Moutassarrifiyyat Jabal Loubnan (L’émigration de la moutassarrifiyyat du Mont-Liban) 1861-1918, le professeur Abdallah Mallah est revenu sur les débuts de l’émigration libanaise, qui n’a rien de récent.
Dans un livret vieux de plus d’un siècle, les autorités publiques invitaient les autochtones à rester au pays, en publiant des circulaires, dont voici un extrait:
«Mieux vaut gagner cent piastres en Syrie que huit cents piastres en Amérique!»
«Celui qui ne parle pas la langue de l’Amérique et qui ne possède pas de capital suffisant y trouvera une grande peine!»
«Se faire des sous en Amérique n’est pas chose facile!»
«Le climat est très changeant et peut basculer d’une heure à l’autre, ce qui est très mauvais pour la santé et cause des problèmes respiratoires!»
Toutes les sources s’accordent à dire que Antonios el-Bechaalani est le premier émigré libanais, parti en 1854 à Boston, aux États-Unis.
Dans un excellent ouvrage paru récemment en langue arabe, Al-Hijra Min Moutassarrifiyyat Jabal Loubnan (L’émigration de la moutassarrifiyyat du Mont-Liban) 1861-1918, le professeur Abdallah Mallah est revenu sur les débuts de...
Dans un excellent ouvrage paru récemment en langue arabe, Al-Hijra Min Moutassarrifiyyat Jabal Loubnan (L’émigration de la moutassarrifiyyat du Mont-Liban) 1861-1918, le professeur Abdallah Mallah est revenu sur les débuts de...
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