Insolite

Des œufs publicitaires, dernière trouvaille des annonceurs Une chaîne de supermarchés japonais a commencé à vendre des œufs avec des publicités imprimées sur la coquille, dernière trouvaille pour influencer les ménagères qui, affirment les études, décident souvent du menu du jour tout en flânant dans les rayons. Les premiers œufs publicitaires, qui vantent les « pâtes chinoises au poulet » du géant nippon de la nouille instantanée Nissin Food Products, ont fait leur apparition dans les supermarchés Daiei, qui prévoient d’en écouler environ trois millions en un mois. Le procédé, inventé aux États-Unis, a été introduit au Japon par l’agence de publicité Sunny Side Up, qui a signé à cette fin un partenariat avec l’Association japonaise des producteurs d’œufs. Selon l’agence, une soixantaine d’annonceurs potentiels, allant des marchands de jouets aux clubs de gym en passant par les fabricants de cosmétiques, se sont montrés intéressés. Tout le village était suspect de l’assassinat du maire, mais le rival a avoué Dans le petit village aragonais de Fago, où l’assassinat du maire avait transformé les 25 habitants en suspects et attiré les médias, le rival, politique et commercial, de l’édile a avoué le meurtre. « Je l’ai fait tout seul. J’ai tué le maire parce que je ne le supportais plus », a déclaré, selon le quotidien El Pais de dimanche, Santiago Mainar, garde forestier, propriétaire d’un gîte rural et candidat malheureux à l’élection remportée par le défunt, Miguel Grima. Toutefois, même si M. Mainar a avoué avoir agi seul, des sources proches de l’enquête citées par les médias espagnols affirmaient que son récit contenait « de nombreuses lacunes » et le soupçonnaient d’avoir eu des complices. Cette affaire suscite énormément d’intérêt en Espagne. Tous les quotidiens ou peu s’en faut ont publié en une ce week-end la photo de M. Mainar, qui avait beaucoup parlé aux médias depuis le meurtre, le 12 janvier, avant d’être arrêté vendredi. Maire conservateur du village de Fago, Miguel Grima, 50 ans, a été retrouvé le 12 janvier, la poitrine criblée de chevrotines, dans les environs du hameau dont les 25 habitants étaient tous soupçonnés et se sont prêtés à des tests ADN. Ce seraient ces tests qui auraient confondu M. Mainar. Ivre, il conduisait son camion vêtu d’un slip Un chauffeur ukrainien, ivre et vêtu uniquement d’un slip, est tombé cette semaine de la cabine de son camion alors qu’il roulait sur une route nationale près de Plock, dans le centre de la Pologne. Avec 2,5 grammes d’alcool par litre de sang, l’Ukrainien est tombé devant une voiture qui tentait de doubler le camion. Le routier en est sorti sain et sauf : il roulait à petite vitesse et le conducteur de la voiture a réussi à l’éviter. En tombant, le chauffeur a abandonné dans la cabine sa bouteille de vodka à moitié vide. Originaire de Kiev, l’homme de 43 ans encourt deux ans de prison et une amende.