Attrapé en pleins ébats avec une chèvre,
il est contraint de l’épouser
Vers minuit, le 13 février dernier, M. Alifi est réveillé par un bruit sourd. Immédiatement, il se rue à l’extérieur de sa maison pour prendre, en flagrant délit, M. Tombe en pleins ébats avec une de ses chèvres. « Quand je lui ai demandé : “qu’es-tu en train de faire ?”, il est tombé du dos de la chèvre, alors je l’ai capturé et je l’ai attaché », a rapporté, selon la BBC, ce Soudanais originaire d’un État du Haut-Nil, au journal Juba Post.
Transféré devant le conseil des anciens, M. Tombe a été condamné à « prendre la chèvre pour épouse » et à payer une dot de 15 000 dinars soudanais (50 $).
« On lui a donné la chèvre, et, pour autant que je sache, ils sont toujours ensemble », a expliqué M. Alifi. Tout est bien qui finit bien.
Des femmes de délinquants font
« la grève des cuisses serrées »
Les petites amies et épouses de centaines de jeunes délinquants et tueurs à gage colombiens ont décidé, à l’initiative de la mairie de Pereira (Ouest), d’entamer « une grève des cuisses serrées » afin, par le biais de l’abstinence, de contraindre leurs partenaires à moins de violence. « C’est notre manière d’expliquer à nos époux que nous ne voulons pas être des veuves et que nos enfants méritent d’être éduqués par un père », a déclaré à l’AFP Ruth Macias, une mère de deux enfants, âgée de 18 ans. « Je suis sûre qu’avec de tels arguments, ils nous entendront », a-t-elle ajouté. Pereira est aujourd’hui la ville la plus sanglante de Colombie : 90 % des décès sont dus à des armes à feu, selon les statistiques officielles. Et 84 % des morts sont des victimes de gangs, âgés de 14 à 25 ans.
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