L’année 2005 avait été marquée pour la maison Dior par un défilé-hommage à son fondateur. Un somptueux coup de chapeau à Christian dont on célébrait le cinquantenaire, avec force clins d’œil aux inventions du maître, et voilà John Galliano libéré de sa dette. Renouant avec ses délires, il offre ce printemps une collection fastueuse inspirée des grands espaces. Ayant exploré l’an dernier les possibilités colorées des traditions et coiffures du Pérou, il poursuit en 2006 son voyage aux confins et dégringole des Andes pour caracoler dans la pampa. Plus que jamais, le sac « saddle », inspiré des selles de chevaux, est sa valeur sûre. Le haut chapeau indigène surmontant des nattes démesurées donne le ton, mais en dehors de cet artifice, le prêt-à-porter est portable, avec bonheur. Robes fleuries à profusion, accessoirisées dans la même note, rayures tennis sur tailleurs BCBG, ou imprimé logo en total look, Galliano aura beau chercher ses ressources aux quatre coins de la planète, Dior will be Dior, on peut être sûr qu’il y veille !
L’année 2005 avait été marquée pour la maison Dior par un défilé-hommage à son fondateur. Un somptueux coup de chapeau à Christian dont on célébrait le cinquantenaire, avec force clins d’œil aux inventions du maître, et voilà John Galliano libéré de sa dette. Renouant avec ses délires, il offre ce printemps une collection fastueuse inspirée des grands espaces....
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