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ACCESSOIRES Les bijoux optiques de Cartier
le 27 janvier 2006 à 00h00
Qu’elles soient optiques ou solaires, voilà un bon moment que les lunettes ont transcendé l’argument médical. La chirurgie correctrice a beau avoir libéré les myopes de leur prothèse, les créateurs s’en donnent à cœur joie pour dessiner des montures de plus en plus glamour, de plus en plus indispensables. D’ailleurs, on ne dit plus «lunettes», on dit «eyewear», puisqu’il s’agit d’habiller le regard. Pas plus qu’on ne dit «lunettes solaires», mais «shades», dès lors que le verre teinté se porte comme une ombre à paupières. Cartier n’est pas en reste, qui a fait de cet accessoire, parallèlement à la ligne parfumerie, le cheval de bataille de ses produits dérivés. En bois rares, en or, en corne blanche ou noire, serties de diamants, les montures du joaillier culte de la place parisienne sont identifiables entre toutes. Sur leur tige, un sigle au stylisme revisité en forme de «C» épuré, initiale-bijou, s’allonge ou s’élargit pour mieux s’adapter à la forme de l’objet. «Pilote» ou « bandeau », cerclées ou non cerclées, leurs verres affichent des tons incomparables d’or, d’argent, de gris, de brun, de bleu, de violet ou de rose poudré… pour les matins sans maquillage!
Qu’elles soient optiques ou solaires, voilà un bon moment que les lunettes ont transcendé l’argument médical. La chirurgie correctrice a beau avoir libéré les myopes de leur prothèse, les créateurs s’en donnent à cœur joie pour dessiner des montures de plus en plus glamour, de plus en plus indispensables. D’ailleurs, on ne dit plus «lunettes», on dit «eyewear», puisqu’il...
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