INSOLITE

Un Marocain crée la plus grande grille de mots croisés au monde Un Marocain a mis au point la plus grande grille de mots croisés au monde, longue de 2,10 mètres et large de 1,20 mètres, a-t-on appris hier à Rabat. Il a fallu huit mois à Larbi Ouazbir, cruciverbiste de 31 ans qui vit à Tiflet (60 km est de Rabat), pour finaliser sa grille géante en langue arabe qui compte 19 102 définitions horizontales et 18 280 verticales, indique l’agence marocaine MAP. Il est finalement parvenu au bout de ses peines en octobre dernier. Selon l’agence marocaine, Larbi Ouazbir a ainsi battu le record mondial détenu depuis 1982 par le Québécois Robert Turcot. L’histoire du Maroc et du monde ainsi que les sites géographiques nationaux et internationaux occupent une grande partie de la grille géante du cruciverbiste. « Aucun mot n’a été répété dans cette grille où figurent néanmoins des cases noires », a confié à la MAP Larbi Ouazbir, assurant que « les grilles parfaites, sans cases noires, sont très difficiles à confectionner ». Elles poursuivent leur voisin pour voyeurisme Des habitantes d’une ville du sud de la Californie ont lancé des poursuites contre leur voisin, l’accusant d’avoir installé des caméras cachées pour espionner leur intimité, a-t-on appris mardi de source judiciaire. Selon le texte de la plainte au civil déposée devant le tribunal du comté d’Orange, au sud-est de Los Angeles, William Brown avait monté autour de son domicile un réseau perfectionné de caméras miniaturisées, équipées de puissants zooms, avec lesquelles il enregistrait les faits et gestes de ses voisins. Il aurait ainsi surpris quatre de ses voisines nues ou à demi-nues, effectuant ensuite des montages des scènes sur des cassettes, a affirmé l’avocat des plaignantes, Eric Traut. Des chameaux en Norvège ? Une municipalité de Norvège, pays aux hivers longs et rigoureux, envisage d’acquérir des chameaux pour aider les réfugiés à s’intégrer, a indiqué une responsable locale citée par les médias norvégiens mardi. « Les chameaux ont fait partie du quotidien d’une bonne partie des réfugiés », a déclaré Wenche Irene Stenseth, responsable de l’intégration des réfugiés à Loeten (sud de la Norvège), à proximité du cercle polaire. « Beaucoup d’entre eux ont eu une vie de nomades, une vie où le chameau a occupé une place centrale », a-t-elle ajouté. L’élevage de chameaux, pour leur lait, leur viande et leur cuir, donnerait une occupation professionnelle aux réfugiés qui « ne souhaitent qu’une chose : travailler et payer des impôts » tout en stimulant le tourisme local, a-t-elle expliqué.