« Il n’y a pas de pressions américaines sur l’OPEP », a dit le ministre de l’Information du Qatar, Abdallah ben Hamad al-Attiyah, après un entretien avec le secrétaire américain à l’Énergie, Samuel Bodman. « Le dialogue est le meilleur moyen et le plus civilisé (dans les rapports) entre consommateurs et producteurs » de brut, a-t-il ajouté. M. Bodman, qui avait visité...
Actualités - CHRONOLOGIE
Il n’y a pas de pressions américaines sur l’OPEP, selon le Qatar
le 17 novembre 2005 à 00h00
« Il n’y a pas de pressions américaines sur l’OPEP », a dit le ministre de l’Information du Qatar, Abdallah ben Hamad al-Attiyah, après un entretien avec le secrétaire américain à l’Énergie, Samuel Bodman. « Le dialogue est le meilleur moyen et le plus civilisé (dans les rapports) entre consommateurs et producteurs » de brut, a-t-il ajouté. M. Bodman, qui avait visité également le Koweït et les Émirats arabes unis dans le cadre d’une tournée dans la région du Golfe, avait affirmé lundi être certain que les ministres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole décideront d’alimenter « suffisamment » le marché du brut lors de leur prochaine réunion, en décembre.
Lors de sa dernière conférence, l’OPEP a maintenu son plafond de production à 28 millions de barils/jour (mbj). M. Bodman a quitté Doha dans l’après-midi pour l’Arabie saoudite, premier producteur et exportateur de brut.
« Il n’y a pas de pressions américaines sur l’OPEP », a dit le ministre de l’Information du Qatar, Abdallah ben Hamad al-Attiyah, après un entretien avec le secrétaire américain à l’Énergie, Samuel Bodman. « Le dialogue est le meilleur moyen et le plus civilisé (dans les rapports) entre consommateurs et producteurs » de brut, a-t-il ajouté. M. Bodman, qui avait visité...
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