Pour la première fois depuis la guerre israélo-arabe de 1967, une force paramilitaire égyptienne prendra position le long de la frontière entre l’Égypte et la bande de Gaza. Une situation rendue possible par la signature hier d’un accord entre Tel-Aviv et Le Caire qui permet le déploiement de 750 gardes-frontières égyptiens.
Parallèlement, l’État hébreu a commencé hier à tirer les dividendes de son retrait de la bande de Gaza. Une rencontre, qualifiée d’« historique » par l’État hébreu, a en effet eu lieu hier en Turquie entre le chef de la diplomatie israélienne, Sylvan Shalom, et son homologue pakistanais, Khrushid Kasuri. Si le Pakistan, pays musulman, restait prudent, des sources israéliennes ont indiqué que cette rencontre pourrait ouvrir la voie à l’établissement de liens diplomatiques.
Pour la première fois depuis la guerre israélo-arabe de 1967, une force paramilitaire égyptienne prendra position le long de la frontière entre l’Égypte et la bande de Gaza. Une situation rendue possible par la signature hier d’un accord entre Tel-Aviv et Le Caire qui permet le déploiement de 750 gardes-frontières égyptiens.
Parallèlement, l’État hébreu a commencé hier à...
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