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Actualités - OPINION

Une précision de cheikh Michel el-Khoury

Sous la rubrique « Les lecteurs ont voix au chapitre », j’ai lu dans votre numéro du mardi 7 décembre une lettre signée Michel Bardawil qui se rapporte à la statue toujours absente de Béchara el-Khoury de la place qui lui est dédiée. Il va de soi que je déplore tout autant que M. Bardawil cet incompréhensible manquement à un devoir national qui aurait dû naturellement être accompli depuis déjà longtemps. Mais je tiens à réitérer ce que j’ai souvent déclaré, à savoir que la décision d’ériger la statue d’un homme public dans un lieu public n’appartient guère à sa famille et que celle-ci ne dispose d’aucun pouvoir pour se substituer à une volonté absente au niveau des « décideurs ». La famille, quant à elle, a fait exécuter par le sculpteur Antoine Berbéri une nouvelle statue qui attend depuis plus de cinq ans que les autorités en prennent possession pour la poser en un lieu aujourd’hui envahi par un entassement d’affiches et de placards d’un goût douteux. Les dites autorités n’ont besoin ni de l’initiative ni de la permission de la famille pour procéder à ce qui n’est que de leur compétence. Il m’a paru utile de livrer ces précisions à M. Bardawil et, grâce à lui, à tous ceux, nombreux, qui se posent et souvent me posent une question à laquelle ils n’avaient pas encore de réponse. Michel Béchara EL-KHOURY
Sous la rubrique « Les lecteurs ont voix au chapitre », j’ai lu dans votre numéro du mardi 7 décembre une lettre signée Michel Bardawil qui se rapporte à la statue toujours absente de Béchara el-Khoury de la place qui lui est dédiée. Il va de soi que je déplore tout autant que M. Bardawil cet incompréhensible manquement à un devoir national qui aurait dû naturellement...