Pour convaincre Élias Murr de renoncer à l’Intérieur, la vice-présidence du Conseil lui a été proposée en même temps qu’un portefeuille fondamental. Mais le ministre sortant a préféré se retirer dignement de la course, ont indiqué ses proches, partant du principe qu’il ne peut pas accepter ce genre de marchandage et que le service public ne peut pas faire l’objet...
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Murr a voulu se retirer « pour fuir le bazar des portefeuilles »
le 26 octobre 2004 à 00h00
Pour convaincre Élias Murr de renoncer à l’Intérieur, la vice-présidence du Conseil lui a été proposée en même temps qu’un portefeuille fondamental. Mais le ministre sortant a préféré se retirer dignement de la course, ont indiqué ses proches, partant du principe qu’il ne peut pas accepter ce genre de marchandage et que le service public ne peut pas faire l’objet d’un bazar. Aussi, a-t-il fait paraître un communiqué dans lequel il a annoncé qu’il ne veut pas faire partie du prochain gouvernement, « du moment que la participation au cabinet a pris la tournure d’un conflit autour des portefeuilles ».Aussitôt après, M. Sleimane Frangié a publié un communiqué annonçant qu’il a pris contact avec le président Émile Lahoud pour l’assurer qu’il se tiendra à ses côtés « face à tous les défis », si l’Intérieur lui est confié.
Pour convaincre Élias Murr de renoncer à l’Intérieur, la vice-présidence du Conseil lui a été proposée en même temps qu’un portefeuille fondamental. Mais le ministre sortant a préféré se retirer dignement de la course, ont indiqué ses proches, partant du principe qu’il ne peut pas accepter ce genre de marchandage et que le service public ne peut pas faire l’objet...
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