Si le marathon de Beyrouth, qui a eu lieu dimanche, a regroupé des coureurs de dizaines de nationalités différentes, certains étaient des émigrés d’origine libanaise venus davantage, selon certains témoignages, retrouver leurs origines que participer simplement à un événement sportif. L’une des plus grandes délégations était formée de Brésiliens d’origine libanaise, arrivés au Liban dans le cadre d’un voyage organisé par la Chambre d’industrie libano-brésilienne (fondée il y a 45 ans) et le Club du Mont-Liban de São Paulo. La délégation comptait, entre autres, cinq directeurs de la Chambre d’industrie, Nasser Nasr, Guillermo Harb, Roberto Skaff, Fabio Azzam et Carlos Mouffarej. Tous ont exprimé leur admiration et celle de leurs familles pour le Liban (pour certains, ce n’était pas du tout leur première visite) et ont insisté sur l’importance de la tenue d’un tel événement sportif dans le pays.
Quelque 230 personnes ont effectué le voyage à leurs frais personnels : 19 d’entre elles ont participé au marathon (42 kilomètres), 40 au marathon de dix kilomètres, dont Denise Khairallah, une Brésilienne originaire de Bhamdoun, sacrée première de sa catégorie.
Si le marathon de Beyrouth, qui a eu lieu dimanche, a regroupé des coureurs de dizaines de nationalités différentes, certains étaient des émigrés d’origine libanaise venus davantage, selon certains témoignages, retrouver leurs origines que participer simplement à un événement sportif. L’une des plus grandes délégations était formée de Brésiliens d’origine...
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