En 2003, la bijouterie-horlogerie a encore perdu de son éclat avec des ventes en baisse de 4 % malgré l’engouement des Français pour les bijoux en argent, les grandes griffes de la mode et leur intérêt persistant pour les montres haut de gamme. Les ventes toutes catégories confondues de bijoux et de montres ont atteint l’an dernier 5,1 milliards d’euros, en repli de 4...
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Le chiffre du jour 5,1 milliards d’euros 2003, une année terne pour la bijouterie-horlogerie en France
le 12 mars 2004 à 00h00
En 2003, la bijouterie-horlogerie a encore perdu de son éclat avec des ventes en baisse de 4 % malgré l’engouement des Français pour les bijoux en argent, les grandes griffes de la mode et leur intérêt persistant pour les montres haut de gamme. Les ventes toutes catégories confondues de bijoux et de montres ont atteint l’an dernier 5,1 milliards d’euros, en repli de 4 % par rapport à 2002, une année qui avait déjà été médiocre pour le secteur après la période faste des années 1998 à 2000.
Le bijou en argent lui ne connaît pas la crise : ses ventes ont augmenté de 9 % l’an dernier après 13 % en 2002.
En revanche, l’or est en perte de vitesse bien qu’il représente encore 58 % des dépenses des Français avec un chiffre d’affaires de 2,9 milliards d’euros. Les ventes des articles tout or (sans pierre et perle) ont reculé de 6 %.
En 2003, la bijouterie-horlogerie a encore perdu de son éclat avec des ventes en baisse de 4 % malgré l’engouement des Français pour les bijoux en argent, les grandes griffes de la mode et leur intérêt persistant pour les montres haut de gamme. Les ventes toutes catégories confondues de bijoux et de montres ont atteint l’an dernier 5,1 milliards d’euros, en repli de 4...
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