Après plus de cinq semaines de séquestration, sept otages, trois Indiens, trois Kényans et un Égyptien, ont enfin été relâchés hier par leurs ravisseurs en Irak. Une libération qui a coûté 500 000 dollars à leur employeur koweïtien qui a indiqué qu’il n’allait pas cesser ses activités en Irak, contrairement aux déclarations des islamistes. L’absence de toute nouvelle information sur le sort des deux journalistes français et de leur chauffeur syrien alimentait en revanche l’inquiétude. Alors que le second ultimatum était arrivé à expiration, les autorités françaises restaient extrêmement mobilisées pour obtenir la libération des otages.
Après plus de cinq semaines de séquestration, sept otages, trois Indiens, trois Kényans et un Égyptien, ont enfin été relâchés hier par leurs ravisseurs en Irak. Une libération qui a coûté 500 000 dollars à leur employeur koweïtien qui a indiqué qu’il n’allait pas cesser ses activités en Irak, contrairement aux déclarations des islamistes. L’absence de toute...
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