Dans une nouvelle volte-face, figure de style dont il est friand, le leader radical chiite Moqtada Sadr a annoncé hier « l’arrêt des combats dans tout l’Irak » et l’entrée de son mouvement « dans le processus politique irakien ». Une déclaration accueillie avec prudence par le gouvernement intérimaire, un de ses représentants n’y voyant là qu’une tentative pour « sauver la face » après l’accord de paix de Najaf. Le chef radical chiite, qui jurait encore il n’y a pas longtemps de combattre jusqu’à la mort « l’occupant » américain, doit expliquer dans deux jours ce retournement, selon son plus proche conseiller politique.
Parallèlement, Téhéran a offert à Bagdad son aide pour restaurer la sécurité en Irak. Une condition sine qua non, selon un responsable iranien, pour la sécurité de la République islamique et de toute la région.
Dans une nouvelle volte-face, figure de style dont il est friand, le leader radical chiite Moqtada Sadr a annoncé hier « l’arrêt des combats dans tout l’Irak » et l’entrée de son mouvement « dans le processus politique irakien ». Une déclaration accueillie avec prudence par le gouvernement intérimaire, un de ses représentants n’y voyant là qu’une tentative pour «...
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