Le chef radical chiite Moqtada Sadr a affirmé hier qu’il ne dissoudrait pas sa milice, l’Armée du mehdi, sans une demande en ce sens des autorités religieuses, et qu’il continuerait à se battre contre les troupes américaines occupant l’Irak même si cela devait l’obliger à « mourir en martyr ». Ces propos sont intervenus au moment où les forces US lançaient une offensive dans la ville sainte de Kerbala, tuant 25 miliciens chiites radicaux.
Les États-Unis ont affirmé de leur côté qu’ils mèneraient leur mission à son terme après la décapitation du civil américain Nicholas Berg.
Le président George W. Bush a dénoncé cette « exécution brutale », qui a soulevé une vague d’indignation dans le monde.
Le chef radical chiite Moqtada Sadr a affirmé hier qu’il ne dissoudrait pas sa milice, l’Armée du mehdi, sans une demande en ce sens des autorités religieuses, et qu’il continuerait à se battre contre les troupes américaines occupant l’Irak même si cela devait l’obliger à « mourir en martyr ». Ces propos sont intervenus au moment où les forces US lançaient une...
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