Entre les murs séculaires du temple de Bacchus se sont élevées, hier, les notes métissées d’un oud célèbre, celui de Rabih Abou Khalil. Le sémillant compositeur-instrumentiste entouré de quatre excellents musiciens, et accompagné pour la première fois d’une voix – néanmoins à vocation instrumentale –, a entraîné l’auditoire dans son univers personnel, aux rythmes alertes et aux sonorités profondes, qui puisant aux sources d’une créativité à la fois fantaisiste et méthodique, mais toujours nimbée d’humour. Une performance qui a visiblement conquis un public éclectique. Lequel a ovationné debout ce virtuose du oud jazzy, qui se produira ce soir encore à Baalbeck.
(Press Photo)
Entre les murs séculaires du temple de Bacchus se sont élevées, hier, les notes métissées d’un oud célèbre, celui de Rabih Abou Khalil. Le sémillant compositeur-instrumentiste entouré de quatre excellents musiciens, et accompagné pour la première fois d’une voix – néanmoins à vocation instrumentale –, a entraîné l’auditoire dans son univers personnel, aux...
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