Elle met aussi à mal le volet de la politique extérieure russe consistant à convaincre la communauté...
Actualités - CHRONOLOGIE
Attentat sanglant à Grozny : 32 tués, dont le président Kadyrov Les rebelles tchétchènes assènent une gifle à Poutine (photo)
le 10 mai 2004 à 00h00
La mort du président tchétchène prorusse Akhmed Kadyrov, hier dans un attentat sanglant à Grozny, ruine les efforts en vue d’une « normalisation » de la situation menés par Vladimir Poutine, au lendemain de l’inauguration de son second mandat présidentiel.
Elle met aussi à mal le volet de la politique extérieure russe consistant à convaincre la communauté internationale que le conflit tchétchène, considéré comme une affaire intérieure par Moscou, était quasiment réglé et ne devait plus être soulevé.
Vladimir Poutine a rapidement réagi à l’assassinat de l’homme lige de Moscou en menaçant de punir les rebelles tchétchènes : « Il ne fait aucun doute que le châtiment sera inévitable pour ceux contre lesquels nous nous battons aujourd’hui », a affirmé le président russe en qualifiant M. Kadyrov de « véritable héros », qui « est parti invaincu ».
La mort du président tchétchène prorusse Akhmed Kadyrov, hier dans un attentat sanglant à Grozny, ruine les efforts en vue d’une « normalisation » de la situation menés par Vladimir Poutine, au lendemain de l’inauguration de son second mandat présidentiel.
Elle met aussi à mal le volet de la politique extérieure russe consistant à convaincre la communauté...
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