Dernier-né des grands projets issus du rêve haririen, l’Hôpital gouvernemental universitaire de Beyrouth (HGUB) ouvrira ses portes le 2 août prochain. Objet de tiraillements politiques – comme pratiquement toute réalisation à grande échelle dans ce pays – cet édifice gigantesque, doté de plus de 500 lits, de quatorze salles d’opérations et d’équipements «...
Actualités - REPORTAGE
La question des frais de fonctionnement se pose avec acuité L’hôpital gouvernemental de Beyrouth sera-t-il victime de sa taille ?
le 28 juillet 2004 à 00h00
Dernier-né des grands projets issus du rêve haririen, l’Hôpital gouvernemental universitaire de Beyrouth (HGUB) ouvrira ses portes le 2 août prochain. Objet de tiraillements politiques – comme pratiquement toute réalisation à grande échelle dans ce pays – cet édifice gigantesque, doté de plus de 500 lits, de quatorze salles d’opérations et d’équipements « dernier cri », risque d’être victime de sa taille.
Aux 121 millions de dollars déjà dépensés pour la construction et l’équipement, devront s’ajouter les frais de fonctionnement. Un beau sujet d’empoignade pour les années à venir, d’autant que le projet a déjà suscité de nombreuses polémiques, à caractère notamment confessionnel. Dans le camp du chef de l’État, on n’hésite pas à accuser le Premier ministre d’avoir fait de cet établissement une « affaire sunnite ».
Page 5, le dossier réalisé
par Patricia KHODER
Dernier-né des grands projets issus du rêve haririen, l’Hôpital gouvernemental universitaire de Beyrouth (HGUB) ouvrira ses portes le 2 août prochain. Objet de tiraillements politiques – comme pratiquement toute réalisation à grande échelle dans ce pays – cet édifice gigantesque, doté de plus de 500 lits, de quatorze salles d’opérations et d’équipements «...
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