Chareh critique les propos de Bush sur la présidentielle
La Syrie rappelle son rôle
de grand électeur
le 27 juillet 2004 à 00h00
La Syrie a rappelé hier, par la voix de Farouk el-Chareh, son rôle de grand électeur dans la présidentielle libanaise, face aux États-Unis. Ce ne sont pas les propos de George Bush, mais ceux de Bachar el-Assad, qui doivent être pris comme référence pour aborder l’échéance, a dit M. Chareh.
Pendant ce temps, les prises de position locales se poursuivent. Deux déclarations se sont détachées, hier, du lot : celles de Omar Karamé et de Mikhaël Daher. L’ancien chef de gouvernement, tout en réclamant un « changement de mentalité », est resté vague sur sa position définitive à l’égard d’un amendement constitutionnel, mais le député du Akkar s’y est clairement déclaré hostile.
La Syrie a rappelé hier, par la voix de Farouk el-Chareh, son rôle de grand électeur dans la présidentielle libanaise, face aux États-Unis. Ce ne sont pas les propos de George Bush, mais ceux de Bachar el-Assad, qui doivent être pris comme référence pour aborder l’échéance, a dit M. Chareh.
Pendant ce temps, les prises de position locales se poursuivent. Deux...
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