M. Bazzi a indiqué qu’« avant son interpellation, Ramadan avait appelé sa fiancée au téléphone, mais la communication avait été interrompue, et ce n’est...
Actualités
Prisons Ali Bazzi réclame l’ouverture d’une enquête sur la mort d’un détenu dans sa cellule
le 07 juillet 2004 à 00h00
Dans une conférence de presse hier, M. Ali Bazzi, député d’Amal, a réclamé l’ouverture d’une enquête sur la mort d’un détenu, Hussein Ramadan, qui a été retrouvé, il y a deux jours, pendu dans sa cellule.
M. Bazzi a indiqué qu’« avant son interpellation, Ramadan avait appelé sa fiancée au téléphone, mais la communication avait été interrompue, et ce n’est que plus tard que sa famille a appris son arrestation ». « Deux jours plus tard, la direction de la Sûreté générale a convoqué son frère aîné qui a été conduit dans la cellule de Ramadan, et là on lui a dit : “Regardez comment votre frère s’est pendu” », a-t-il dit.
Une source responsable de la Sûreté générale devait réagir aux propos du député, affirmant que le parquet militaire, représenté par le juge Ahmed Oueidate, a mené une enquête en présence du juge d’instruction militaire, Georges Rizk, du médecin légiste et des agents du service d’anthropométrie. Elle a aussi indiqué que Hussein Ramadan a été arrêté parce qu’il était recherché par la justice car il était condamné à la réclusion à perpétuité.
Dans une conférence de presse hier, M. Ali Bazzi, député d’Amal, a réclamé l’ouverture d’une enquête sur la mort d’un détenu, Hussein Ramadan, qui a été retrouvé, il y a deux jours, pendu dans sa cellule.
M. Bazzi a indiqué qu’« avant son interpellation, Ramadan avait appelé sa fiancée au téléphone, mais la communication avait été interrompue, et ce n’est...
M. Bazzi a indiqué qu’« avant son interpellation, Ramadan avait appelé sa fiancée au téléphone, mais la communication avait été interrompue, et ce n’est...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
À Meis el-Jabal, « quatre innocents ont été tués » par une frappe israélienne
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes