Tandis que le paysage électoral se précise à Jbeil et à Jounieh où trois listes, formées dans chacune des deux villes, croiseront le fer aux élections du 2 mai, les tractations restent toujours de mise à Beyrouth, en vue notamment de parvenir à une formule consensuelle, qui éviterait à la capitale une bataille à l’issue incertaine. Des propos tenus hier par diverses personnalités directement concernées par le scrutin de Beyrouth, il ressort en effet qu’une entente entre les principaux courants politiques représentés dans la capitale n’est pas à exclure. Une entente à laquelle Damas n’est cependant pas étranger. M. Assem Kanso y a fait allusion hier, en soulignant que la Syrie n’intervient pas « directement » dans la formation des listes. Selon lui, les prochaines 48 heures seront décisives pour le sort de l’entente à Beyrouth. C’est surtout la réunion des représentants des six partis avec le chef du gouvernement, Rafic Hariri, aujourd’hui, qui le sera.
Tandis que le paysage électoral se précise à Jbeil et à Jounieh où trois listes, formées dans chacune des deux villes, croiseront le fer aux élections du 2 mai, les tractations restent toujours de mise à Beyrouth, en vue notamment de parvenir à une formule consensuelle, qui éviterait à la capitale une bataille à l’issue incertaine. Des propos tenus hier par diverses...
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