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Les anciens députés signataires de Taëf en faveur d’un « courant populaire hostile à l’état de fait »

Les anciens députés signataires de l’accord de Taëf, réunis dans le cadre de la Rencontre du document et de la Constitution, ont exprimé hier leurs craintes concernant « le manque de solutions concrètes aux graves problèmes, estimant que l’anomalie principale réside au niveau du style adopté ». Ils ont également déploré le fait que les différentes institutions (la Chambre, le Conseil des ministre, la Justice...) ne soient pas actuellement en train d’assumer leur rôle sur le plan national. Les anciens députés ont plaidé en faveur de « la mise en place d’un courant populaire cosmopolite et pluriel dont le but serait de rejeter la perpétuation de l’état de fait et d’imposer un changement démocratique à travers le retour au document d’entente nationale, lequel constitue un tout indivisible ». Ils se sont également opposés à « tout ce qui porterait atteinte à la Constitution sous n’importe quel motif ». Étaient présents à la réunion : MM. Nasri Maalouf, Osman el-Dana, Mahmoud Ammar, Michel Maalouli, Rafic Chahine, Tarek Habchi, Anouar es-Sabbah, Pierre Daccache et Edmond Rizk.
Les anciens députés signataires de l’accord de Taëf, réunis dans le cadre de la Rencontre du document et de la Constitution, ont exprimé hier leurs craintes concernant « le manque de solutions concrètes aux graves problèmes, estimant que l’anomalie principale réside au niveau du style adopté ». Ils ont également déploré le fait que les différentes institutions (la...