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Abus de réglisse Haribo : une Allemande traîne le fabricant en justice Une Allemande victime d’une envie insurmontable de réglisse a déposé plainte contre le fabricant de sucreries allemand Haribo, qu’elle juge responsable de ses problèmes cardio-vasculaires, a indiqué hier le tribunal de grande instance de Bonn (ouest). Cette Berlinoise de 48 ans réclame 6 000 euros (7 148 dollars) de dédommagement au fabricant. Elle affirme avoir mâché quotidiennement 400 grammes de réglisses Haribo pendant quatre mois, après quoi des problèmes cardio-vasculaires ont fait leur apparition, a précisé le tribunal. Le groupe Haribo, pour sa part, ne voit aucun lien entre l’ingestion de ses produits et les problèmes cardio-vasculaires de la plaignante. L’éléphant déprimé trouve refuge au commissariat de police Un éléphant de cirque qui avait sombré dans la dépression, après avoir été provisoirement interdit de piste aux étoiles, a trouvé refuge... dans un commissariat où les policiers ont entrepris de lui redonner goût à la vie, a rapporté mercredi la presse argentine. Les malheurs de l’animal tiennent à un arrêté de la municipalité de Santa Fé (centre de l’Argentine), interdisant l’utilisation d’animaux dans les spectacles. Pendant la durée de son séjour dans la ville, le Cirque Espagnol a dû se séparer provisoirement de l’animal, qui a été transféré dans une commune voisine. L’éléphant, né dans ce même cirque il y a 41 ans, regrette les flonflons du spectacle, a confié l’un de ses soigneurs à la chaîne de télévision TN. La direction des services vétérinaires de Santa Fé a constaté que l’éléphant souffrait de « stress » à être ainsi coupé de son environnement quotidien. L’agence de presse DyN précise que ses journalistes n’ont pu découvrir pourquoi le pachyderme interdit de spectacle avait finalement échoué au poste de police. Mais l’éléphant est devenu un sujet de curiosité dans le quartier, surtout auprès des enfants qui viennent lui apporter des friandises pour l’aider à surmonter sa dépression. Une Italienne condamnée pour avoir endormi ses collègues Une employée d’imprimerie dans la région de Milan (nord) a été condamnée à un an de prison pour avoir administré à ses collègues des somnifères dilués dans de l’eau, a-t-on appris de source judiciaire. Pendant près de deux ans, sa patronne et la demi-douzaine de ses collègues avaient souffert de crises de somnolence, certains allant même jusqu’à consulter dans la crainte d’une éventuelle tumeur ou d’un problème cardiaque. La seule à ne pas être frappée de torpeur dans la petite entreprise d’Arcore, près de Milan, était la jeune femme âgée de 36 ans et dernière embauchée en 1998. Lors d’un contrôle sanitaire, des somnifères avaient été trouvés dans sa veste la désignant comme la coupable, ce qu’elle nie. Condamnée à un an de prison et à verser des dommages et intérêts, la jeune femme s’est défendue en affirmant être victime d’un complot ourdi par sa patronne pour se venger de rélévations sur la liaison clandestine qu’elle entretenait avec un homme marié. Le maestro répétait au volant au risque de terminer au violon Un violoniste a échangé quelques notes discordantes avec la police alors qu’il conduisait erratiquement sa voiture sur une autoroute tout en jouant de son instrument. « Encore heureux qu’il ne jouait pas du violoncelle », a estimé le sergent Cam Woolley, de l’Ontario, interrogé par le journal Toronto Sun. L’attention des policiers a été attirée par la conduite du maestro, 54 ans, faisant de grandes embardées sur l’autoroute fréquentée 400 en direction de Toronto. « Ils se sont approchés et il était là, jouant rageusement du violon », a dit M. Woolley. L’artiste, dont le nom n’a pas été dévoilé, a expliqué aux policiers qu’il était en train de répéter avant un concert prévu dans l’après-midi. Il a été inculpé de conduite dangereuse.