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Actualités

Social Précisions du patriarcat syrien-catholique sur le projet de « Mar Ephrem »

Suite aux articles et aux informations rapportés par la presse concernant les habitations populaires du quartier syriaque, dans le secteur de l’Hôtel-Dieu, le bureau de presse du patriarcat syrien-catholique d’Antioche a publié hier le communiqué suivant : « Le projet d’habitat de “Mar Ephrem” dans le quartier syriaque a été exécuté sur un terrain du wakf appartenant aux déshérités de la communauté syrienne-catholique. Ce projet est géré par le patriarche syrien-catholique d’Antioche. Les déclarations rapportées par les médias à ce propos ne correspondent pas à la réalité. Les déshérités de la communauté syrienne-catholique peuvent demander à occuper une habitation dans le le cadre de ce projet. La préférence va à ceux qui ont habité le quartier en 1996, date de l’expropriation du terrain par l’État libanais. Ces habitants occupaient illégalement des taudis dans le camp syriaque, sans la permission du patriarcat. » Après avoir fait état de « locations illégales faites à l’insu du patriarcat par des anciens habitants qui ont quitté le camp mais qui tiennent à l’exploiter », le communiqué poursuit : « Ceux qui ont quitté le quartier syriaque ou qui ont loué ou vendu leur taudis sans l’accord du patriarcat n’ont pas le droit de réclamer un autre appartement dans le cadre du projet susmentionné. Il en est de même de ceux qui ont acheté des maisons ou des terrains ailleurs. Ceux qui ont émigré en Suède, en Australie ou ailleurs ne peuvent pas réclamer une habitation pour la revendre ou la louer. »
Suite aux articles et aux informations rapportés par la presse concernant les habitations populaires du quartier syriaque, dans le secteur de l’Hôtel-Dieu, le bureau de presse du patriarcat syrien-catholique d’Antioche a publié hier le communiqué suivant : « Le projet d’habitat de “Mar Ephrem” dans le quartier syriaque a été exécuté sur un terrain du wakf appartenant...