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Actualités - CHRONOLOGIE

La CGTL victime aussi de la répression des forces de l’ordre

Comme prévu, la manifestation de la Confédération générale des travailleurs s’est déroulée l’après-midi en signe de protestation contre la politique économique du gouvernement, et contre la répression des libertés publiques. Mais si le mouvement a bien démarré à 17h, à Barbir, il a dû s’arrêter à la place Riad el-Solh, victime, lui aussi, des lances à eau et des matraques des forces de l’ordre. Et pourtant, le président de la CGTL, Ghassan Ghosn, a démenti avoir été notifié de l’interdiction de manifester. En outre, les trois députés Farid el-Khazen, Nehmetallah Abi-Nasr et Abbas Hachem avaient pris la tête du mouvement, ce qui aurait dû donner au mouvement une certaine immunité. Mais la décision du mohafez de la capitale, Yaacoub Sarraf, a bel et bien été appliquée, et les contestataires ont été empêchés d’arriver à destination, c’est-à-dire à la place de l’Étoile. La réaction violente des Forces de sécurité intérieure a provoqué la colère des députés qui ont évidemment imputé aux autorités la responsabilité de la crise, et Farid el-Khazen s’est écrié : « Le gouvernement payera le prix de ses exactions. »
Comme prévu, la manifestation de la Confédération générale des travailleurs s’est déroulée l’après-midi en signe de protestation contre la politique économique du gouvernement, et contre la répression des libertés publiques.
Mais si le mouvement a bien démarré à 17h, à Barbir, il a dû s’arrêter à la place Riad el-Solh, victime, lui aussi, des lances à eau et...