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Blanc-bleu : le seul pétrole du Liban...

Aller dévaler les pistes de Faraya le matin (notre photo Marwan Assaf) puis descendre piquer une tête, moins d’une heure plus tard, dans la grande bleue, à Aïn el-Mreissé (notre photo Ibrahim Tawil) ou n’importe où sur le littoral libanais : voilà le seul, le vrai pétrole du Liban. Nous n’avons peut-être pas les pistes de Gstaad ni les plages de Bora Bora, mais en dotant les ministères du Tourisme et de l’Environnement d’un budget à la hauteur de leurs besoins et d’une réelle mission, en mettant à leur tête des commis de l’État totalement apolitisés, le pays pourrait faire douze mois sur douze le plein de touristes étrangers. Retrouver sa véritable vocation de Suisse moyen-orientale. Payer la moitié de sa dette publique. Faire un magnifique pied de nez à Israël et aux autres. Qu’on se le dise et, surtout, que les dirigeants libanais s’y emploient.
Aller dévaler les pistes de Faraya le matin (notre photo Marwan Assaf) puis descendre piquer une tête, moins d’une heure plus tard, dans la grande bleue, à Aïn el-Mreissé (notre photo Ibrahim Tawil) ou n’importe où sur le littoral libanais : voilà le seul, le vrai pétrole du Liban. Nous n’avons peut-être pas les pistes de Gstaad ni les plages de Bora Bora, mais en dotant...