« En tant que poids lourd démocratique, l’UE doit se sentir mal à l’aise dans son soutien à des régimes non démocratiques, surtout la Syrie. Il n’y a aucune...
Actualités - CHRONOLOGIE
Un groupe d’opposition syrien en exil appelle l’UE à changer de politique
le 20 janvier 2004 à 00h00
La Coalition syrienne pour la démocratie (SDC), mouvement d’opposition en exil au régime de Damas, a appelé hier l’Union européenne (UE) à cesser « de soutenir des régimes non démocratiques, surtout la Syrie ».
« En tant que poids lourd démocratique, l’UE doit se sentir mal à l’aise dans son soutien à des régimes non démocratiques, surtout la Syrie. Il n’y a aucune excuse à cela », a déclaré lors d’une conférence de presse à Bruxelles Farid Ghadry, président de la SDC et fondateur du Parti réformiste syrien.
La SDC, une alliance de mouvements et de personnalités de l’opposition syrienne créée en novembre dernier à Washington, s’est réunie pendant le week-end à Bruxelles, a-t-il précisé.
Le mouvement affiche comme objectif de « changer le régime en place en Syrie », a souligné Farid Ghadry. Il a fait part du projet d’organiser une réunion du mouvement à Damas, à une date qui n’a pas été dévoilée.
Interrogé pour savoir si les États-Unis soutenaient cette initiative, il a répondu : « Les États-Unis ne sont pas au courant de cette réunion, mais nous maintenons un dialogue continu et je pense qu’ils la soutiendront de tout cœur. »
La Coalition syrienne pour la démocratie (SDC), mouvement d’opposition en exil au régime de Damas, a appelé hier l’Union européenne (UE) à cesser « de soutenir des régimes non démocratiques, surtout la Syrie ».
« En tant que poids lourd démocratique, l’UE doit se sentir mal à l’aise dans son soutien à des régimes non démocratiques, surtout la Syrie. Il n’y a aucune...
« En tant que poids lourd démocratique, l’UE doit se sentir mal à l’aise dans son soutien à des régimes non démocratiques, surtout la Syrie. Il n’y a aucune...
Les plus commentés
Face à l’affaiblissement du Hezbollah, que compte faire l’opposition ?
Le Hezbollah respectera-t-il (vraiment) le cessez-le-feu ?
L’opposition réunie à Meerab : après la guerre, place au président et aux réformes