Réduisant à néant les espoirs d’une résolution rapide de la crise politique en Iran, le camp réformateur a dénoncé hier le « putsch parlementaire » perpétré selon lui par les autorités. Cette réaction intervient après que des députés réformateurs ont fait savoir que le Conseil des gardiens n’avait, à ce jour, rétabli que 51 des candidatures rejetées. Environ 130 députés ont confirmé leur démission et annoncé qu’ils ne participeraient pas aux législatives, dans une déclaration mettant fin au sit-in de protestation observé depuis le 11 janvier au Parlement et annonçant « une deuxième phase du mouvement ».
Réduisant à néant les espoirs d’une résolution rapide de la crise politique en Iran, le camp réformateur a dénoncé hier le « putsch parlementaire » perpétré selon lui par les autorités. Cette réaction intervient après que des députés réformateurs ont fait savoir que le Conseil des gardiens n’avait, à ce jour, rétabli que 51 des candidatures rejetées. Environ 130...
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