L’ex-Première dame a d’ailleurs profité de sa visite pour critiquer la politique américaine en Irak et exhorter l’Administration Bush à modifier sa stratégie de reconstruction du pays pour permettre aux Nations unies de jouer un plus grand rôle. Pendant ce temps à Washington, la conseillère présidentielle pour la Sécurité nationale, Condoleezza Rice, mettait en exergue les succès enregistrés par la Maison-Blanche en Irak.
Entre-temps, les responsables politiques irakiens doivent commencer aujourd’hui à sérieusement prendre leur destin en main en examinant la possibilité de tenir rapidement des élections générales, une exigence présentée jeudi par le haut dignitaire chiite Ali Sistani.
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