En réaction au terrible crash de l’avion de l’UTA à Cotonou, le syndicat des employés et des ouvriers de la compagnie aérienne nationale Middle East Airlines (MEA) a appelé hier le pouvoir à « remettre en question la politique de ciel ouvert, qui a pavé la voie à la mise en péril de vies humaines pour une poignée de dollars ». Le syndicat a rappelé qu’il avait « mis en garde les autorités contre l’absence de critères techniques qui protégeraient les passagers contre les pièges de la cupidité ». Sans vouloir anticiper les résultats de l’enquête, les employés ont espéré que cette tragédie « poussera les responsables à prendre les mesures adéquates ».
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Les employés de la MEA appellent à une remise en question de la politique de ciel ouvert
le 31 décembre 2003 à 00h00
En réaction au terrible crash de l’avion de l’UTA à Cotonou, le syndicat des employés et des ouvriers de la compagnie aérienne nationale Middle East Airlines (MEA) a appelé hier le pouvoir à « remettre en question la politique de ciel ouvert, qui a pavé la voie à la mise en péril de vies humaines pour une poignée de dollars ». Le syndicat a rappelé qu’il avait « mis en garde les autorités contre l’absence de critères techniques qui protégeraient les passagers contre les pièges de la cupidité ». Sans vouloir anticiper les résultats de l’enquête, les employés ont espéré que cette tragédie « poussera les responsables à prendre les mesures adéquates ».
En réaction au terrible crash de l’avion de l’UTA à Cotonou, le syndicat des employés et des ouvriers de la compagnie aérienne nationale Middle East Airlines (MEA) a appelé hier le pouvoir à « remettre en question la politique de ciel ouvert, qui a pavé la voie à la mise en péril de vies humaines pour une poignée de dollars ». Le syndicat a rappelé qu’il avait « mis...
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