Accusé de faire obstruction à la privatisation du téléphone mobile, en ne se rendant pas aux réunions du Conseil pour la privatisation, le ministre des Télécoms, Jean-Louis Cardahi, a riposté en affirmant que le Premier ministre dirige cet organisme consultatif comme s’il s’agissait d’un Conseil des ministres restreint. En outre, M. Cardahi demande la révocation du secrétaire général de cet organisme, Ghazi Youssef, nommé sans l’approbation du Conseil des ministres ou de l’Inspection centrale.
En tout état de cause, à dix jours de la remise des plis pour la privatisation de Cellis et LibanCell, M. Cardahi refuse toute modification du cahier des charges approuvé en septembre dernier par le Conseil des ministres, tandis que le chef du gouvernement compte soumettre des amendements de dernière minute au Conseil des ministres qui se tient le 22 décembre.
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Accusé de faire obstruction à la privatisation du téléphone mobile, en ne se rendant pas aux réunions du Conseil pour la privatisation, le ministre des Télécoms, Jean-Louis Cardahi, a riposté en affirmant que le Premier ministre dirige cet organisme consultatif comme s’il s’agissait d’un Conseil des ministres restreint. En outre, M. Cardahi demande la révocation du...
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