En vertu de ces faux documents, des fonds ont été avancés par la BDL à la banque al-Madina, notamment à l’occasion de sa fusion avec la banque du Crédit populaire.
Le gouverneur de la BDL a déposé une plainte contre X dans cette affaire.
Par ailleurs, le premier juge d’instruction de Beyrouth, M. Hatem Madi, n’a toujours pas entamé ses enquêtes dans des procès afférents à l’affaire al-Madina, en attendant que lui parviennent les dossiers qu’il doit instruire.
Ces dossiers sont : Imad Hariri contre Rana Koleilat, Saleh Assi contre Rana Koleilat et Ibrahim Abou Ayache contre Rana Koleilat.
Ces actions en justice pour défaut de paiement ou chèques sans provision sont examinées par la Cour de cassation, qui doit se prononcer sur des objections de forme présentées par la défense.
Deux autres dossiers que doit instruire M. Madi font aussi l’objet d’un recours devant la cour d’appel pour vice de forme : Adnane Abou Ayache contre Rana Koleilat et Ibrahim Abou Ayache contre Rana Koleilat. Les propriétaires de la banque al-Madina accusent Mlle Koleilat d’avoir trahi leur confiance.
On rappelle que M. Ibrahim Abou Ayache est écroué, tandis que son frère Adnane Abou Ayache, qui vit en Arabie saoudite, fait l’objet d’un mandat d’amener international.
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