Aux côtés de revendications salariales, professionnelles et sociales, dont certaines ont été satisfaites partiellement, les professeurs réclament le rétablissement des prérogatives du conseil de l’Université, exercées depuis 1997 par le Conseil des ministres. Des prérogatives qu’en raison du climat politique et financier ambiant, dominé à la fois par le clientélisme et une volonté d’austérité, le gouvernement n’est pas prêt de céder. Les grévistes ont reçu, dimanche, l’appui inopiné du recteur de l’UL, Ibrahim Kobeyssi, qui a rappelé que l’UL est née d’une grève et que ses principaux acquis n’ont été obtenus que par la grève.
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