Levée de boucliers européenne, hier, à la conférence Euro-Méditerranée de Naples, contre la « clôture de sécurité » construite par Israël en Cisjordanie.
« C’est un danger pour la paix et la “feuille de route” », ont affirmé successivement à la tribune les différents ministres des Affaires étrangères des Quinze, mettant en garde contre la poursuite d’un tel projet qui suscite également les « fortes inquiétudes » de la présidence italienne.
L’Initiative de Genève a été le second point de friction entre Européens et Israéliens à la conférence, les premiers saluant le projet de Abed Rabbo et Beilin, catégoriquement rejeté par les représentants de l’État hébreu.
À Rabat où il a été reçu, hier, par le roi Mahommed VI, le secrétaire d’État américain Colin Powell a appelé, pour sa part, à une relance du plan de paix international concocté par le quartette, précisant que la « “feuille de route” n’est pas morte ».
Il a souligné par ailleurs que l’accueil positif réservé par Washington à l’initiative de Genève ne signifiait pas que les États-Unis s’écartaient de la « feuille de route », endossée par son pays ainsi que par l’Onu, la Russie et l’Union européenne.
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« C’est un danger pour la paix et la “feuille de route” », ont affirmé successivement à la tribune les différents ministres des Affaires étrangères des Quinze, mettant en garde contre la poursuite d’un tel projet qui suscite également les « fortes inquiétudes » de la présidence italienne.
L’Initiative de Genève a été le second point de friction entre Européens et Israéliens à la conférence, les premiers saluant le projet de Abed Rabbo et Beilin, catégoriquement rejeté par les représentants de l’État hébreu.
À Rabat où il a été reçu, hier, par le roi Mahommed VI, le secrétaire d’État américain Colin Powell a appelé, pour sa part, à une relance du plan de paix international concocté par le quartette, précisant que la « “feuille de route” n’est pas morte ».
Il a souligné par ailleurs que l’accueil positif réservé par Washington à l’initiative de Genève ne signifiait pas que les États-Unis s’écartaient de la « feuille de route », endossée par son pays ainsi que par l’Onu, la Russie et l’Union européenne.
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Levée de boucliers européenne, hier, à la conférence Euro-Méditerranée de Naples, contre la « clôture de sécurité » construite par Israël en Cisjordanie. « C’est un danger pour la paix et la “feuille de route” », ont affirmé successivement à la tribune les différents ministres des Affaires étrangères des Quinze, mettant en garde contre la poursuite d’un tel...
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