Dans une interview au New York Times, Bachar el-Assad a non seulement appelé Washington à soutenir une reprise du dialogue syro-israélien, mais il a aussi déclaré ne pas être opposé à la présence de troupes américaines en Irak aussi longtemps que les États-Unis se voulaient « élément stabilisateur » et non « puissance agitatrice » dans la région.
Sur le terrain irakien, l’ambiance était toutefois plutôt à la confusion au lendemain des violents affrontements de Samarra, ville sunnite située à 110 km au nord de Bagdad. Tout en annonçant que les attaques de dimanche soir avaient causé la mort de 54 combattants irakiens, un commandant de l’armée américaine reconnaissait qu’aucun corps n’avait été retrouvé sur les lieux.
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