« Le recteur de l’Université Saint-Joseph, informé de l’arrestation survenue le 21 novembre 2003 dont a été victime M. Nabil Abou Charaf, président de l’amicale des étudiants de la faculté de droit et des sciences politiques, proteste vigoureusement contre les modalités d’une telle interpellation.
« M. Abou Charaf, intercepté le vendredi soir sans qu’aucune procédure légale ni aucun égard à sa personne ne soient respectés, a été relâché sans excuses le lendemain. Au nom des valeurs essentielles de liberté et de respect du droit des citoyens, l’Université Saint-Joseph s’élève contre de telles pratiques. »
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