Réagissant aux promesses de son homologue israélien, Ariel Sharon, qui avait promis « un geste » et des « mesures unilatérales » d’allègement pour débloquer les pourparlers entre les deux parties, le Premier ministre palestinien Ahmed Qoreï a demandé hier que ces promesses se traduisent en actes « sérieux » et « tangibles ». Précisant sa pensée, M. Qoreï a invité l’État hébreu a commencer par décréter une série de mesures, notamment l’arrêt de la colonisation et de la construction de la ligne de sécurité en Cisjordanie que les Palestiniens dénoncent comme un « mur de la honte ».
Mais il y a loin de la coupe aux lèvres et déjà M. Sharon est contesté dans son propre camp, le Likoud, qui s’oppose à toute « concession » sur les colonies ou le mur.
Pour sa part, l’intéressé s’est refusé à confirmer ou démentir si les mesures qu’il entend prendre concernaient, le démantèlement de colonies isolées dans la bande de Gaza et en Cisjordanie.
Réagissant aux promesses de son homologue israélien, Ariel Sharon, qui avait promis « un geste » et des « mesures unilatérales » d’allègement pour débloquer les pourparlers entre les deux parties, le Premier ministre palestinien Ahmed Qoreï a demandé hier que ces promesses se traduisent en actes « sérieux » et « tangibles ». Précisant sa pensée, M. Qoreï a invité...
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