L’annonce par le député Mohsen Dalloul d’un possible départ du gouvernement, ou du moins du Premier ministre, après le vote du budget par le Parlement, a relancé les spéculations sur une question que l’on croyait réglée, après la récente visite du président Lahoud à Damas.
Une visite dont le chef de l’État est revenu avec un « appui absolu » à sa présidence, nuancé du refus d’un départ du gouvernement dans les conditions actuelles.
Toutefois, l’absence de transparence politique est telle que cette interprétation anonyme des résultats du sommet a fait l’objet d’une mise au point non moins anonyme selon laquelle le blocage n’est pas aussi total qu’on le pense. C’est ainsi que la visite à Damas, hier, de Négib Mikati, candidat potentiel à la succession de M. Hariri, a emballé la machine à spéculer locale.
Page 2, l’éclairage
de Fady NOUN
Une visite dont le chef de l’État est revenu avec un « appui absolu » à sa présidence, nuancé du refus d’un départ du gouvernement dans les conditions actuelles.
Toutefois, l’absence de transparence politique est telle que cette interprétation anonyme des résultats du sommet a fait l’objet d’une mise au point non moins anonyme selon laquelle le blocage n’est pas aussi total qu’on le pense. C’est ainsi que la visite à Damas, hier, de Négib Mikati, candidat potentiel à la succession de M. Hariri, a emballé la machine à spéculer locale.
Page 2, l’éclairage
de Fady NOUN
L’annonce par le député Mohsen Dalloul d’un possible départ du gouvernement, ou du moins du Premier ministre, après le vote du budget par le Parlement, a relancé les spéculations sur une question que l’on croyait réglée, après la récente visite du président Lahoud à Damas. Une visite dont le chef de l’État est revenu avec un « appui absolu » à sa présidence,...
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