M. Kfoury a cité d’autres revendications, relatives notamment à l’inclusion de certains professeurs dans le cadre et à la révision des conditions de retraite.
Auparavant dans la journée, les professeurs de la faculté des sciences humaines de l’Université libanaise- section II (UL-Fanar) s’étaient réunis en assemblée générale à la demande de leur délégué, Issam Khalifé, pour débattre des nouvelles mesures à prendre dans le cadre de la grève qu’ils observent afin d’obtenir satisfaction de leurs demandes.
Dans un communiqué publié au terme de la réunion, ils ont souligné que « les revendications d’ordre financier et moral du comité des professeurs constituent le minimum requis » et que « l’indifférence des responsables à l’égard de l’université est à la fois suspecte et scandaleuse ».
Les professeurs ont en outre plaidé en faveur de « l’adoption de tous les moyens de pression légaux afin de sortir de leur léthargie les responsables et l’opinion publique », avant d’appeler les syndicats et le mouvement estudiantin à soutenir leur grève. Pour eux, « ce mouvement de protestation est indispensable à la survie de l’Université libanaise ».
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