C’est ce qu’a indiqué hier le nouvel ambassadeur de Grande-Bretagne au Liban, James Wilfrid Watt, à sa sortie du ministère des Affaires étrangères.
À la question de savoir si la visite du ministre d’État est reliée aux projets du Congrès américain et du Parlement européen relatifs à l’implantation des réfugiés palestiniens dans les pays d’accueil, M. Watt a souligné que « la visite de la baronne Symons a été programmée bien avant la publication dans la presse de ces projets », soulignant que « c’est la première fois depuis deux ans qu’un responsable britannique visite le Liban ».
En réponse à une question relative au rapport sur l’implantation adopté par le Parlement européen, M. Watt a relevé que la Grande-Bretagne, à l’instar d’autres pays européens, ne soutient pas nécessairement les rapports du Parlement de Strasbourg. « La position de la Grande-Bretagne, a-t-il dit, est claire et nette sur ce sujet. C’est une question qu’il faudrait négocier dans le cadre d’une solution globale du conflit israélo-arabe », ajoutant que son pays « continuera à encourager toutes les parties à trouver une solution pacifique au conflit ».
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