« Nous sommes dégoûtés des atermoiements et de la politique du déni, du mensonge et de la marginalisation menée par les personnes concernées, qui n’ont que le souci de leurs succès politiques », a indiqué le comité, estimant que même l’Ordre des avocats n’avait pas assumé ses responsabilités dans cette affaire, et qu’aucun des bâtonniers n’a mentionné le dossier des détenus dans le cadre de son programme électoral.
« L’attitude officielle vise à nous pousser au désespoir, mais, à l’occasion de la journée du prisonnier, nous renouvelons notre foi en notre cause et le proclamons haut et fort : nous refusons que notre droit à connaître le sort de nos fils et de nos proches meurt. Il est de notre devoir de ne jamais faire marche arrière (...) et de mobiliser toutes les énergies avant que les détenus ne trouvent la mort », a ajouté le comité, en affirmant vouloir éviter le spectacle affligeant des fosses communes irakiennes.
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