« La population du Liban (...) pourrait devenir la première victime de la catastrophe que nous promet (le secrétaire général du Hezbollah, Hassan) Nasrallah », a averti l’armée israélienne. Dans un communiqué publié hier, elle a annoncé avoir procédé à des manœuvres, cette semaine, dans le nord de l’État hébreu, tout en menaçant Beyrouth et Damas de représailles en cas de provocations de la part du Hezbollah.
« L’armée israélienne ne cherche pas l’escalade, mais elle est prête à faire face à tout affrontement possible avec le Hezbollah, qui est à la pointe du terrorisme, avec le parrainage de la Syrie et le soutien de l’Iran », souligne le communiqué, qui affirme que le gouvernement syrien « portera l’entière responsabilité d’une escalade sur la frontière nord ».
Tout cela alors que l’État hébreu et le parti intégriste continuent de négocier depuis plusieurs mois, sous les auspices d’une médiation allemande, un échange de prisonniers qui achoppe toujours sur Samir Kantar, détenu en Israël pour le meurtre de trois personnes commis en 1979 et dont le Hezbollah exige la libération.
Page 3, l’article de Ziyad MAKHOUL
« La population du Liban (...) pourrait devenir la première victime de la catastrophe que nous promet (le secrétaire général du Hezbollah, Hassan) Nasrallah », a averti l’armée israélienne. Dans un communiqué publié hier, elle a annoncé avoir procédé à des manœuvres, cette semaine, dans le nord de l’État hébreu, tout en menaçant Beyrouth et Damas de représailles...
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