Vingt-quatre heures après l’adoption par la Chambre des représentants US d’un projet de loi prévoyant des sanctions économiques et diplomatiques contre la Syrie, les autorités à Damas se sont abstenues de réagir, le président Bachar el-Assad se contentant, au sommet de l’OCI en Malaisie, de critiquer les « fanatiques » de l’Administration Bush « qui privilégient la force sur le dialogue ».
Le vote de la résolution US sur l’Irak par la Syrie (voir par ailleurs) est venu confirmer cette volonté syrienne de calmer le jeu avec les États-Unis afin d’éviter la rupture avec la première puissance mondiale. Mais au niveau du conflit au P-O, le ton est différent, et le chef d’état-major syrien, le général Hassan Turkmani, a déclaré hier que la Syrie ne se laisserait pas intimider par les menaces et a appelé l’armée à se tenir « prête à riposter » à une éventuelle attaque israélienne.
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Vingt-quatre heures après l’adoption par la Chambre des représentants US d’un projet de loi prévoyant des sanctions économiques et diplomatiques contre la Syrie, les autorités à Damas se sont abstenues de réagir, le président Bachar el-Assad se contentant, au sommet de l’OCI en Malaisie, de critiquer les « fanatiques » de l’Administration Bush « qui privilégient la...
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