Dans son allocution, le président de l’Ordre des journalistes (également président de la commission permanente des libertés), Melhem Karam, a insisté sur l’apport de cette commission, notamment pour tout ce qui concerne les notions de souveraineté, de libertés, de démocratie.
Soulignant que « tout ce dont a fait montre la presse ainsi que les sacrifices des journalistes étaient uniquement au service du droit à la parole, du droit à l’opinion », et ce afin d’éviter qu’un pays ne se transforme en un insipide monochrome.
Melhem Karam a ensuite indiqué que la commission des libertés a condamné le meurtre du journaliste et photographe palestinien Mazen Da’na par les Américains, alors qu’il remplissait sa mission en couvrant l’événement à la prison Abou-Gharib en Irak.
De même, la commission a déploré les exactions israéliennes à l’encontre des journalistes, afin de les empêcher de rapporter la réalité de ce qui se passe en Irak.
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