Le premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, a fixé hier au 14 octobre la prochaine audience dans le cadre du procès Aoun, l’ancien chef du gouvernement de transition, se trouvant actuellement à Washington, n’ayant pas été notifié à son appartement à Paris.
La prochaine notification se fera par affichage sur la porte de l’appartement du général, à Paris. De cette manière, si Michel Aoun ne comparaît pas à la prochaine audience, le juge Madi émettra un mandat d’arrêt à son encontre, considérant qu’il aura été notifié conformément à la loi.
Contacté par L’Orient-Le Jour, le général Aoun a estimé que « l’agression » contre lui « se poursuit », et que puisque « le pouvoir a commencé unilatéralement son action en justice, il aura à la poursuivra seul ». « Je ne suis pas concerné », a-t-il ajouté.
Le premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, a fixé hier au 14 octobre la prochaine audience dans le cadre du procès Aoun, l’ancien chef du gouvernement de transition, se trouvant actuellement à Washington, n’ayant pas été notifié à son appartement à Paris.La prochaine notification se fera par affichage sur la porte de l’appartement du général, à Paris. De...
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