Le premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, a reporté au 8 octobre le début de l’enquête dans le procès pour escroquerie intenté par Jean Assi et Roula Souhaid contre Rana Koleilate et Ibrahim Abou Ayache, en raison du décès de la mère de Rana.
M. Abou Ayache avait également présenté au magistrat un rapport médical, dans lequel il indique que son état de santé ne lui permet pas d’être présent à la première audience fixée dans cette affaire.
Par ailleurs, M. Madi a délivré cinq mandats d’arrêts contre les membres d’une bande qui avait délesté un employé de banque de la somme de 20 mille dollars qu’il transportait de l’une des branches de l’établissement dans lequel il travaille vers le siège principal. Il a remis en liberté, mais sous caution d’élection de domicile, deux autres personnes qui avaient été arrêtées dans le cadre de la même affaire.
Rejet de la demande de remise en liberté des deux frères de Ali Abdallah
Le premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, a rejeté hier les demandes de remise en liberté de Georges Ghosn et Fady et Sultan Abdallah, les deux frères de l’ancien ministre de l’Agriculture, Ali Abdallah. Les trois sont poursuivis comme on le sait pour détournement de fonds publics au ministère de l’Agriculture, lié à un projet de coopération libano-américain.
Le magistrat a en revanche accepté la demande de remise en liberté d’une autre personne poursuivie dans le cadre de cette affaire, Mohammed Hallani, en contrepartie du paiement d’une caution de 600 000 livres. À la suite de la décision du juge de relâcher Hallani, le parquet a interjeté appel devant la Chambre de mise en accusation de Beyrouth.
Mandats d’arrêt contre
sept faussaires irakiens
Le juge d’instruction du Mont-Liban, Abdel Rahim Mrad, a émis des mandats d’arrêt à l’encontre de sept Irakiens accusés d’être entrés au Liban illégalement, via la Syrie, et d’avoir écoulé de faux billets de 100 dollars sur le marché. Des documents falsifiés ont été découverts lors de l’arrestation des sept accusés. Ces derniers formaient, selon les premiers éléments de l’enquête, un réseau de faussaires. Ils bénéficiaient de la complicité du dénommé Abou Abed Mazloum, actuellement en fuite.
M. Abou Ayache avait également présenté au magistrat un rapport médical, dans lequel il indique que son état de santé ne lui permet pas d’être présent à la première audience fixée dans cette affaire.
Par ailleurs, M. Madi a délivré cinq mandats d’arrêts contre les membres d’une bande qui avait délesté un employé de banque de la somme de 20 mille dollars qu’il transportait de l’une des branches de l’établissement dans lequel il travaille vers le siège principal. Il a remis en liberté, mais sous caution d’élection de domicile, deux autres personnes qui avaient été arrêtées dans le cadre de la même affaire.
Rejet de la demande de remise en liberté des deux frères de Ali Abdallah
Le premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, a rejeté hier les demandes de remise en liberté de Georges Ghosn et Fady et Sultan Abdallah, les deux frères de l’ancien ministre de l’Agriculture, Ali Abdallah. Les trois sont poursuivis comme on le sait pour détournement de fonds publics au ministère de l’Agriculture, lié à un projet de coopération libano-américain.
Le magistrat a en revanche accepté la demande de remise en liberté d’une autre personne poursuivie dans le cadre de cette affaire, Mohammed Hallani, en contrepartie du paiement d’une caution de 600 000 livres. À la suite de la décision du juge de relâcher Hallani, le parquet a interjeté appel devant la Chambre de mise en accusation de Beyrouth.
Mandats d’arrêt contre
sept faussaires irakiens
Le juge d’instruction du Mont-Liban, Abdel Rahim Mrad, a émis des mandats d’arrêt à l’encontre de sept Irakiens accusés d’être entrés au Liban illégalement, via la Syrie, et d’avoir écoulé de faux billets de 100 dollars sur le marché. Des documents falsifiés ont été découverts lors de l’arrestation des sept accusés. Ces derniers formaient, selon les premiers éléments de l’enquête, un réseau de faussaires. Ils bénéficiaient de la complicité du dénommé Abou Abed Mazloum, actuellement en fuite.
Le premier juge d’instruction de Beyrouth, Hatem Madi, a reporté au 8 octobre le début de l’enquête dans le procès pour escroquerie intenté par Jean Assi et Roula Souhaid contre Rana Koleilate et Ibrahim Abou Ayache, en raison du décès de la mère de Rana. M. Abou Ayache avait également présenté au magistrat un rapport médical, dans lequel il indique que son état de...
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