La conquête du public des Estivales de Deir el-Qamar est désormais certaine. À l’affiche de cette troisième semaine, un choix éclectique avec une variété de spectacles dynamiques et séduisants.
Jeudi soir, le Barock Ensemble, dirigé par Paul-René Safa, s’est produit sous les voûtes de la Kaissaryeh. Cette soirée était organisée en coordination avec Pascal Sanchez, directeur du CCF au Chouf. Vendredi, le Mexique était à l’honneur avec la signature du livre culinaire de Martha Diaz de Kuri qui, la veille, a donné une conférence à l’Unesco. Un dîner gastronomique animé par un trio musical a suivi.
Côté jeunesse, La Grenouille Rouge, un conte de Frida Debbané, est présenté en théâtre-mime pour enfants avec une mise en scène signée Sabine Schoucair. Un spectacle qui a drainé, samedi, une foule de très jeunes au Sérail. Parallèlement, à la salle à la Colonne, Fady Stéphan signait son ouvrage, Le berceau du monde, avec lecture d’extraits par Brigitte Pagés et Maya Misk.
Oumayma :
la lune de la chanson
Samedi soir, Oumayma a affirmé son talent de chanteuse avec élégance et professionnalisme devant une foule considérable venue l’applaudir à Minchiyé, ce jardin municipal redécoré. Oumayma a chanté Midri Kif, accompagnée d’un orchestre et d’une chorale de vingt personnes sous la direction de son époux, Hani Siblini, qui a composé la musique de plusieurs de ses chansons. Surnommée « la Lune de la chanson », la jeune chanteuse a déployé tout son art dans Ouhibouka aktar, Aayam et al-Kamajat.
Caline Bernoty :
détermination et espoir
Le théâtre a clôturé le week-end des Estivales en beauté. Caline Bernoty et son groupe NuAge ont présenté Femme en fragrance, une adaptation du roman Clair de femme de Romain Gary, l’histoire d’un couple qui ne veut pas mourir ; l’histoire d’une fragrance féminine, incarnée dans toutes les femmes potentielles, qui sont capables de hisser le drapeau de la dignité et de l’honneur féminin...
C’est une louange et un hymne à l’amour, un hommage à la vie, une victoire sur la mort. Avec Caline Bernoty, le théâtre se fond dans la danse.
La jeune metteur en scène et chorégraphe a créé son groupe NuAge, en 1999. À son actif, plusieurs pièces de théâtre inspirées des œuvres de Camus, de Nadia Tuéni, de Paolo Coelho... Discipline du corps, de la voix, du souffle et de l’écoute de l’autre. Le théâtre est avant tout un mode de vie. Notre richesse réside dans la diversité de nos cultures. Hier soir, seize acteurs ont fidèlement transmis ce message. Deux rôles remarqués : Senor Galba, interprété par Mike Bernoty, qui n’est autre que le père de Caline. L’espérance, elle, était représentée par la très jeune Nour Ghayath Boustany, la cousine de Caline.
Un travail qui fait honneur à l’enracinement et à l’ouverture, héritages des ancêtres.
Jeudi soir, le Barock Ensemble, dirigé par Paul-René Safa, s’est produit sous les voûtes de la Kaissaryeh. Cette soirée était organisée en coordination avec Pascal Sanchez, directeur du CCF au Chouf. Vendredi, le Mexique était à l’honneur avec la signature du livre culinaire de Martha Diaz de Kuri qui, la veille, a donné une conférence à l’Unesco. Un dîner gastronomique animé par un trio musical a suivi.
Côté jeunesse, La Grenouille Rouge, un conte de Frida Debbané, est présenté en théâtre-mime pour enfants avec une mise en scène signée Sabine Schoucair. Un spectacle qui a drainé, samedi, une foule de très jeunes au Sérail. Parallèlement, à la salle à la Colonne, Fady Stéphan signait son ouvrage, Le berceau du monde, avec lecture d’extraits par Brigitte Pagés et Maya Misk.
Oumayma :
la lune de la chanson
Samedi soir, Oumayma a affirmé son talent de chanteuse avec élégance et professionnalisme devant une foule considérable venue l’applaudir à Minchiyé, ce jardin municipal redécoré. Oumayma a chanté Midri Kif, accompagnée d’un orchestre et d’une chorale de vingt personnes sous la direction de son époux, Hani Siblini, qui a composé la musique de plusieurs de ses chansons. Surnommée « la Lune de la chanson », la jeune chanteuse a déployé tout son art dans Ouhibouka aktar, Aayam et al-Kamajat.
Caline Bernoty :
détermination et espoir
Le théâtre a clôturé le week-end des Estivales en beauté. Caline Bernoty et son groupe NuAge ont présenté Femme en fragrance, une adaptation du roman Clair de femme de Romain Gary, l’histoire d’un couple qui ne veut pas mourir ; l’histoire d’une fragrance féminine, incarnée dans toutes les femmes potentielles, qui sont capables de hisser le drapeau de la dignité et de l’honneur féminin...
C’est une louange et un hymne à l’amour, un hommage à la vie, une victoire sur la mort. Avec Caline Bernoty, le théâtre se fond dans la danse.
La jeune metteur en scène et chorégraphe a créé son groupe NuAge, en 1999. À son actif, plusieurs pièces de théâtre inspirées des œuvres de Camus, de Nadia Tuéni, de Paolo Coelho... Discipline du corps, de la voix, du souffle et de l’écoute de l’autre. Le théâtre est avant tout un mode de vie. Notre richesse réside dans la diversité de nos cultures. Hier soir, seize acteurs ont fidèlement transmis ce message. Deux rôles remarqués : Senor Galba, interprété par Mike Bernoty, qui n’est autre que le père de Caline. L’espérance, elle, était représentée par la très jeune Nour Ghayath Boustany, la cousine de Caline.
Un travail qui fait honneur à l’enracinement et à l’ouverture, héritages des ancêtres.
La conquête du public des Estivales de Deir el-Qamar est désormais certaine. À l’affiche de cette troisième semaine, un choix éclectique avec une variété de spectacles dynamiques et séduisants.Jeudi soir, le Barock Ensemble, dirigé par Paul-René Safa, s’est produit sous les voûtes de la Kaissaryeh. Cette soirée était organisée en coordination avec Pascal Sanchez,...
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